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vendredi 2 mars 6666

_____Les Noirs ne lisent pas et resteront toujours nos esclaves. Nous pouvons encore continuer à profiter des Noirs sans aucun effort de notre part. Voici les trois piliers qui soutiennent le maintien dans l’esclavage qu’ils s’imposent à eux-mêmes :

1. Leur ignorance

Elle constitue le premier socle de leur maintien en esclavage. Un grand homme déclara une fois que : « La meilleure façon de cacher quelque chose à un Noir est de la mettre dans un livre ». Nous vivons actuellement à l’âge de l’Information et de la communication tous azimuts. Ils ont l’opportunité de lire n’importe quel livre, traitant de tout sujet, mais surtout en rapport avec lutte pour la liberté et l’indépendance. Mais, ils refusent de lire. Il y a d’innombrables livres facilement disponibles chez Borders, Barnes & Noble ou sur Amazon.com sans mentionner les librairies spécialisées pour Noirs qui fournissent des œuvres de grande valeur, susceptibles de leur permettre d’atteindre tous les niveaux d’instruction et de formation. Mais peu d’entre eux acceptent de lire. Seulement quand ils vont au petit coin (chez nous, il y a toujours de la lecture dans ces endroits-là... Et si jamais ils lisent, ils refusent de partager les connaissances qu’ils acquièrent. Pire, ils n’écrivent pas pour les générations futures. Quant à ceux des villages, ils préfèrent cacher les valeurs ancestrales qu’ils détiennent (médecine par exemple), préférant mourir avec.

2. Leur propension à tout Consommer

Les Noirs, depuis l’abolition de l’esclavage ont eu de grandes sommes d’argent à leur disposition. L’an dernier, seulement pour la période des fêtes de Noël et de fin d’année, ils ont dépensé 10 milliards de dollars des 450 milliards de dollars qui représentent leur revenu annuel (2,22%). N’importe lequel d’entre nous peut les (Noirs) utiliser comme un marché cible. Ils viendront toujours consommer. Étant principalement des consommateurs, ils agissent par avidité, poussés par le plaisir et le désir de toujours posséder. Ils veulent toujours en posséder davantage sans penser le moins du monde à épargner ou à investir pour les générations à venir. Au lieu de démarrer une entreprise, ils penseront de préférence à s’acheter de nouvelles paires de chaussures très chères. Certains d’entre eux vont jusqu’à négliger leurs propres enfants pour se procurer les tout derniers modèles... TOMMY ou FUBU. Ils pensent jusqu’à présent que rouler en Mercedes et vivre dans une grande maison leur octroie un certain « statut » ou qu’ils ont réalisé le Rêve Américain. Ils sont fous ! Qu’ils soient en Europe, aux USA, en Afrique ou ailleurs... Ils sont tous les mêmes ! La majorité de leurs frères croupissent encore dans la misère parce que leur avidité les empêche de constituer un lobby financier au service de la communauté.

Avec l’aide de BET (Black Entertainment Tonight), une chaîne de télévision pour Noirs (ndlr), et d’autres media télévisés du même genre, ils peuvent recevoir toute sorte d’images qui finissent toujours par les détruire.

Nous continuerons à tirer d’eux d’immenses profits comme ceux gagnés par TOMMY et NIKE. Les Noirs continueront de se donner tristement en spectacle, pendant que nous autres (Blancs) nous construisons une communauté plus forte et toujours plus solidaire.

3. Leur égoïsme

Il est enraciné en eux depuis les temps de l’esclavage et l’époque coloniale. L’un des leurs, Dubois, disait dans un livre, « le Dixième des Talents », qu’il existait dans leur culture un manque de solidarité. L’auteur a été très précis à ce sujet. Cependant, comme il fallait s’en douter, les Noirs n’ont lu que le 1/10 de « le Dixième des Talents ». Alors que ce livre aurait pu leur donner les moyens de comprendre leur situation afin d’aider les 9/10 à avoir une meilleure qualité de vie. Au contraire, ces éléments ont crée une nouvelle catégorie de classe, la classe Buppie (que nous traduirions par parvenus). Ils regardent de haut les leurs ou bien les aident avec condescendance.

La seule culture qu’ils comprennent c’est celle de ramassage et de cueillette. Tel Caen qui est nourrie par la semence de son frère d’Abel : Le « nivellement vers le bas ». Leur égoïsme ne leur permet pas de travailler ensemble sur des projets communs. Ils ne réaliseront jamais ce que nous avons accompli. Quand ils se mettent ensemble ils laissent leur ego dominer leurs objectifs communs. Ainsi, leurs prétendues organisations d’aide et de charité (...) ne semblent seulement promouvoir des individus au lieu d’apporter de réels changements dans leur communauté. Ils sont heureux de siéger dans des conférences ou des conventions dans nos hôtels (Sheraton, Intercontinental..., discutant au sujet de ce qu’ils projettent de faire tout en félicitant par des titres ronflants les meilleurs orateurs et non les meilleurs entrepreneurs (ceux qui en fait agissent). Quand est-ce que tout cela va s’arrêter ?

Ils refusent obstinément de se rendre compte que unis ils pourraient accomplir beaucoup plus : Together Each Achieves More (TEAM). Ils ne comprennent pas qu’il n’y a pas mieux que des entités individuelles mises ensemble pour contribuer à une œuvre commune. En réalité beaucoup de ces Buppies (parvenus) ne se rendent pas compte qu’ « une seule signature suffit pour qu’ils redeviennent pauvres » et que deux chèques de paie les séparent de la pauvreté (ils sont à deux mois de salaire de la pauvreté). Et que tout cela est contrôlé par les plumes des Blancs. Une simple signature suffit !!

Ainsi donc nous continuerons à les maintenir dans cet état : - Aussi longtemps qu’ils refuseront de lire et de partager l’information, - Aussi longtemps qu’ils continueront d’être une communauté de consommateurs, - Et aussi longtemps qu’ils continueront de penser qu’ils « aident » leurs communautés en payant des cotisations à des organisations qui ne font rien d’autres que tenir d’extravagantes conventions dans nos hôtels.

En passant, ne vous inquiétez pas qu’ils puissent lire cet article. Rappelez-vous : Ils ne lisent pas. Et ils sont amnésiques.

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_____Réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de 22 ans. pour avoir tuée un juif, parce que c'était un Juif: Le malheur et l'inhumanité de l'homme "Blanc" sont d'avoir tué l'homme "noirs" quelque part..

La polémique médiatique qui s'en est suivie a tendance à le faire oublier, mais le principal accusé de la torture puis du meurtre d'Ilan Halimi, à savoir Youssouf Fofana chef du "gang des barbares", a écopé de la peine la plus lourde du code pénal français: la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de 22 ans. Youssouf Fofana, âgé de bientôt 29 ans ne devrait pas sortir de prison avant d'avoir atteint les 50 ans.

Dès les réquisitions du parquet, l'avocat de la famille Halimi, Francis Spizner (célèbre pour avoir été l'avocat entre autres de Jacques Chirac), avait estimé que les peines demandées étaient "incohérentes et trop faibles". Dans un entretien à Europe 1 (voir en fin d'article), la mère d'Ilan Halimi a estimé que "la Shoah recommence" et que si le procès ne s'était pas tenu à huis-clos, la France "aurait pris conscience" et que le verdict aurait certainement été très différent. Elle a regretté le fait que compte tenu des peines effectuées certains condamnés pourraient se retrouver libres très rapidement. Deux points permettent de mettre en doute ces propos, probablement liés à l'émotion de la mère de celui qui a souffert le martyre pendant plusieurs semaines. Le premier est que la loi française est relativement simple. Quand l'un des accusés est mineur au moment des faits, il est jugé par la cour d'assise des mineurs, et s'il demande à ce que les débats aient lieu à huis-clos, rien ni personne ne peut s'y opposer. Quand les accusés sont majeurs, les choses sont différentes puisque le tueur en série Raymond Fourniret avait vainement tenté d'obtenir que son procès se tienne à huis-clos. Le second point erroné tient au verdict. Dans une cour d'assises le verdict est rendu par un jury dit populaire. Ce sont les jurés qui déterminent le verdict, et dans les procès "à risque" comme celui de Fofana, le verdict est isolé afin de ne pas être susceptible de pression. Que les journaux télévisés aient rendu compte des débats n'aurait donc a priori pas changé le verdict.

Les peines prononcées étaient pourtant très proches des réquisitions du parquet. Fofana a comme prévu écopé de la peine maximale, et ses deux "bras droits" de 15 et 18 ans, contre 20 réclamés. La jeune "appât" a écopé de 9 ans là où l'avocat général en avait requis "de 10 à 12". L'avocat général n'avait pas retenu l'excuse de minorité (qui divise les peines par deux), au contraire des jurés, qui ont également tenu compte du passé de la jeune fille qui aurait été violée dans sa jeunesse. Au total, deux des accusés auront été acquittés, les autres, Fofana exclus, ont été condamnés à des peines allant de quelques mois avec sursis à 18 ans de prison.

Le verdict a été rendu sans incident, un déploiement policier exceptionnel avait été prévu. On se souvient en effet que des membres d'un groupuscule extrêmiste juif avaient agressé la mère de Youssouf Fofana le premier jour du procès. Ceux-ci ne se seraient pas déplacés en raison du début du shabat. Les journaux ont mentionné la présence d'une quizaine de proches de Kemi Seba, le leader de la dissoute Tribu Ka.

L'avocat général avait trouvé le verdict "équilibré" mais pas diverses organisations juives qui sont toutes montées au créneau pour dénoncer le verdict qu'elles trouvaient faible, et réclamer un nouveau procès. Certaines d'entre elles regrettaient que le procès n'ait pas été LE procès de l'antisémitisme, et ont appelé à manifester devant le ministère de la justice ce lundi à 14h. Curieusement, aucun responsable politique français n'est monté au créneau pour défendre l'impartialité de la justice française, telle qu'elle est règulièrement proclamée par les mêmes. Alors qu'on nous serine depuis des années (et les affaires de financement politique des années 1990) que la justice est indépendante, Michèle Alliot Marie a demandé au parquet de faire appel des sanctions inférieures aux réquisitions du parquet.

L'Union Syndicale des Magistrats a jugé la décision "inquiétante", en faisant pointer qu'un procès en l'absence de Fofana (qui ne peut être rejugé ayant écopé de la peine maximale) ne pourra qu'être "tronqué", et critiquant même les motivations annoncées: "si la simple motivation c'est que les peines prononcées sont inférieures de quelques années à ce qui a été requis, il va falloir faire appel dans les trois quarts des affaires pénales de cours d'assises. (...) C'est la politique qui a repris ses droits sur la justice, je trouve ça assez triste, a-t-il poursuivi en soulignant que cela reposait la question de la place des victimes et des parties civiles dans le procès pénal. "L'équilibre (entre parties civiles et défense) est en train d'être rompu. On est passé dans un système où la partie civile peut potentiellement exercer une sorte de vengeance privée a estimé Christophe Régnard, le président de l'USM.

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______“ Les causes de l'oppression ” noirs de france... LA PEINE DE MORT N’EST PAS ABOLIE. ELLE EST PRONONCEE DANS LES TRIBUNAUX ET APPLIQUEE DANS LES PRISONS.

Tract annonçant une semaine contre les longues peines et les QI (quartiers d’isolement), du 2 au 8 novembre, sur toute la France.

La prison tue les prisonniers condamnés à quinze, vingt, trente ans de réclusion, les prisonniers condamnés à des peines incompressibles, les prisonniers condamnés à perpétuité:

« En 1981, les socialistes n’ont pas aboli la peine de mort mais juste supprimé la guillotine, et ils ont remplacé la peine de mort par l’enfermement jusqu’à la mort. Jamais les peines prononcées par les cours d’assises n’ont été aussi lourdes, jamais les aménagements de peine n’ont été aussi chiches, pour ne pas dire inexistants. Nouveaux temps, nouvelles techniques: plus propres, plus efficaces, avec moins d’effusion de sang, mais tout aussi violentes et meurtrières. » Des prisonniers de la centrale de Lannemezan

La prison tue les prisonniers enfermés dans les quartiers d’isolement (QI) et dans les quartiers disciplinaires(QD):

« L’obligation de se blinder pour encaisser tous les coups durs induits par la pression de l’isolement sépare les hommes en deux catégories: ceux qui deviennent plus forts et ceux qui craquent. Résultat, les uns prennent des cachets et coulent à pic, les autres font peur à l’administation pénitentiaire parce qu'ils sont perçus comme inoxydables et en quête de vengeance. En résumé, il y a ceux qui combattent et ceux qui abdiquent. Les premiers ont compris qu’il n’y avait pas d’autre choix, les autres croient au pire des poisons existant : l’espoir. » Christophe, depuis le QI de La Santé

« La souffrance morale concerne toute personne détenue; cependant, il semble qu’elle soit poussée à son paroxysme à l’isolement. Cette souffrance a de multiples causes: l’exacerbation des contraintes carcérales, la monotonie, le poids des autres, trop présents ou trop absents, le manque d’intimité, l’absence de vie sociale, la perte de l’image et de l’estime de soi, la perte d’autonomie. Les isolés se retrouvent dépossédés de tout ce qui normalement donne un sens à la vie. » Docteur Dominique Faucher

La prison tue les prisonniers malades, même quand ils sont libérés juste avant:

« Mourir en prison est le sort le plus infâme que puisse vivre un être humain. Nous demandons que soit respecté le droit à mourir dignement, parmi les siens, hors du contexte carcéral. Justice et administration pénitentiaire sont coupables par ordonnance. L’Etat et ses représentants sont coupables de ces négligences assassines. La prison est un moyen de gestion de la précarité et de la pauvreté. Elle devient également un lieu de répression des maladies mentales et un mouroir pour des milliers de détenus atteints de maladies incurables. Libération des détenus atteints de maladies incurables ! » Des prisonniers de la centrale d’Arles en août 2001

La prison suicide de plus en plus de prisonniers:

« Le suicide ne peut pas être le fait d’une désespérance, il est le résultat des pressions subies au quotidien sans possibilités de s’en défendre. La prison, qui soustrait au regard et au « contrôle démocratique», permet toutes les formes d’arbitraire. Des femmes, des hommes sont humiliés, interdits, niés dans leur volonté déshumanisée. Cela a pour conséquence le taux important de suicides en prison. » Une prisonnière de la maison d'arrêt des femmes de Fleury-Mérogis

La prison tue les proches et les familles des prisonniers:

« Nous sommes condamnées par l’ombre des barreaux de ceux qui sont des nôtres. La distance qui me sépare de quarante minutes de parloir, l’appréhension qui me talonne parce que la prison, justement, c’est la prison (sept ou huit décès en un an, sept ou huit proches de prisonniers suicidés, dont on entend si peu parler dans les colonnes de la grande presse…) tout ça, et puis le reste : les obligations courantes, le boulot, le manque de fric, les dettes en suspens... autant de barreaux invisibles, intérieurs, qu’on n’appelle pas par leur nom pour éviter de flancher. » Une mère de prisonnier

La prison tue une génération de jeunes:

« Le système a compris que les mômes avaient compris, que les discours rassurants, ça ne marchait pas. Donc la réponse, vu l’absence de perspectives, c’est de recréer les centres fermés, de construire des nouvelles prisons, de régler les problèmes sociaux par l’enfermement. Le pouvoir sait que ces mômes sont une génération perdue, il n’a rien à leur proposer, donc il doit gérer le problème -et quand on sait qu’en plus, l’enfermement rapporte… » Un prisonnier de la centrale de Saint-Maur

En 1789, la république considérait qu’une peine de plus de dix ans d’emprisonnement était un châtiment plus cruel que la mort. Il est largement reconnu que passé un certain temps, la longueur des peines, les QI et les QD ne sont qu'acharnement, vengeance, destruction de l'individu.

La semaine du 2 au 8 novembre doit être une semaine de résistance contre la mort lente des perpétuités et des longues peines, une semaine de revendication pour les libérations médicales, les libérations conditionnelles…

Abolition des longues peines, des peines de sûreté, de la rétention de sûreté; abolition de l’intolérable peine de perpétuité.

Abolition des mitards et des quartiers d'isolement, fermeture pure et simple de ces lieux de destruction où les morts suspectes sont de plus en plus nombreuses.

Libération de tous les prisonniers malades et handicapés.

Application du rapprochement familial et affinitaire.

Non à la politique du tout-répressif et à toute forme d'enfermement.

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___Qu'elle solution pour un "noirs" de france? La domination économique des uns sur les autres résultant deux stratégies: Individuelle, et s’en sortir seul ou Collective, S’unir et tenté d'inverser la domination, économique et idéologique

Nous nous permettons à travers ces lignes, quelques remarques ’’sociologiques’’ sur la situation des noirs de France.

Le point de départ est la domination économique des uns sur les autres (a). Une telle domination économique se double ensuite d’une domination idéologique (b). Il est clair que (a) entraine (b). Les uns, par leur main mise sur le pouvoir, impose leurs logiques, leurs schémas de pensée, leurs organisations de la société.

Il en résulte deux stratégies (x et y) possibles pour les noirs de France. La première tactique (x), individuelle, consiste pour un noir à s’en sortir seul. Cependant, si il veut réussir individuellement, un noir doit accepter l’idéologie dominante, l’idéologie des uns. C’est le premier visage du ’’noir abusé’’ . Il accepte la domination, il accepte les dominants pour pouvoir récuperer quelques miettes de succès. Une deuxième stratégie (y) est possible. C’est une stratégie collective. Les noirs de France pourraient s’unir et tenter d’inverser la domination, économique et idéologique. Cependant, cette stratégie a un coût très élevé pour chaque noir : il doit refuser la domination des uns et donc renoncer à réussir individuellement, c’est à dire renoncer à la stratégie (x). Or, plus la communauté noire de France est atomisée, plus les noirs sont individualisés, plus il est difficile d’utiliser la stratégie collective (y), et plus il est tentant d’utiliser la stratégie individuelle (x). C’est notamment pour ça qu’on observe dans toute société une tentative de la classe dominante d’atomiser, d’individualiser la classe dominée, pour l’empécher d’agir collectivement en utilisant quelques échantillons phénotypiques comme exemple de réussite. C’est là le vrai but de l’individualisme, tant vanté ces dernières années. C’est une façon de dire aux pauvres : ’’le meilleur moyen de réussir c’est d’être en compétition avec vos semblables’’. On voit clairement que deux classent émergent au sein des noirs de France, le pouvoir, en tant que défenseur de la classe supérieur, veut diviser la classe dominée, et l’empécher de se constituer en tant force politique unie. La communauté noire de France fait face aux mêmes difficultés à se constituer en tant que classe unie et soudée, car la classe dominante atomise tous les dominés, et fait donc préférer la stratégie (x) à la stratégie (y).

La réponse se trouve là : inventer de nouveaux moyen d’unir la communauté noire de France, et la faire dépasser le piège de l’individualisme. Cela passe bien sûr par la conquète du pouvoir économique et idéologique. En ce sens, le nouveau président Obama pourrait être un signe d’espoir, dans la tentative d’unir les noirs plutôt que les diviser...illusion fondée.

Dans ce contexte, seul le lien avec l’Afrique pourrait constituer un atout précieux, à la fois pour sa diaspora et pour ses propres citoyens, éléments qui nous auraient échappé dans notre quotidien.

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